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Historique

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Il serait vraiment inconvenant de retracer l'histoire de l'illustre quinquagénaire qu'est l'internat "LE BRITANNIQUE" en omettant de brosser à larges traits le portrait de son prestigieux ancêtre qui fut l'un des fleurons de la Grande Hôtellerie spadoise au cours des siècles passés. Réunis en un même bâtiment, Hôtel et Internat se partagent également la célébrité du lieu dont on évoque ci-après les qualités les plus marquantes.

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L'ancien hôtel

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Des origines datant du XVIIe siècle

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Dès 1669, un établissement hôtelier est connu, à l'emplacement actuel de l'internat, sous le nom de "A LA VILLE D'ANVERS". Bordée d'un cadre de verdure exceptionnel, à la fois proche du centre de la cité et s'en trouvant suffisamment écarté pour conserver son apparence rurale, cette belle "auberge" était promise à un avenir plein de rebondissements. L'Histoire, en effet, bien à l'affût de la turpitude comme de la bonté des hommes, ne se priverait pas d'imprimer sa marque sur le destin de cette Maison.

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Au XVIIIe siècle, la tourmente de la révolution française y implanta un tribunal révolutionnaire qui suspendit pour un temps la fonction hôtelière de l'établissement.

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Au début du XIXe siècle, en fait jusqu'en 1850 environ, l'épopée napoléonienne puis notre annexion aux Pays-Bas ainsi que les désordres politiques et sociaux qui s'ensuivirent jettèrent un voile d'ombre sur "LA VILLE D'ANVERS".

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Le Comte Valéry de ROTTERMUND

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Une fois stabilisée la vie politique dans nos régions, la parure verdoyante du décor naturel, la proximité des frontières avec nos pays voisins, les bienfaits des eaux thermales et l'existence d'un service hôtelier de grande classe attirèrent à SPA une clientèle élégante et variée, parfois originaire de pays lointains.

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En 1851, un émigré polonais fortuné, le Comte Valéry de ROTTERMUND, acheta l'hôtel "A LA VILLE D'ANVERS", et lui fit subir quelques transformations qui l'élevèrent au rang d'hôtel de grand luxe.

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En 1852, l'hôtel changea encore de propriétaire puisqu'il fut acheté par le sieur M.G. FALLER qui le rebaptisa tout simplement en lui attribuant le nom de " HOTEL FALLER ". Deux ans plus tard, en 1854, un autre acheteur, appelé Edouard SURY, dont on notera que ses prénom et nom ont une consonnance très britannique, devint propriétaire à son tour et donna à son nouveau domaine le nom de " GRAND HOTEL BRITANNIQUE ".

La famille Leyh

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Dès 1846, Frédéric LEYH, accompagné des siens, originaire de la région du WÛRTEMBERG en Allemagne, vint s'installer à Spa où il commença par travailler dans les milieux de l'hôtellerie en tant que salarié. Mais en 1865, il se rendit acquéreur du GRAND HOTEL BRITANNIQUE et, par la suite, ses successeurs en resteront les propriétaires-gestionnaires jusqu'à la création de l'internat par l'Etat belge en 1958.

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La refonte de l'hôtel FALLER

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Vue de la façade arrière (depuis le Bd. des Anglais) de L'HOTEL BRITANNIQUE dans la seconde moitié du XIXe siècle. A l'avant-plan, on distingue une annexe vitrée qui disparut par la suite.

Entre 1854 et 1905, la structure de l'hôtel subira diverses modifications architecturales, en particulier par l'adjonction de plusieurs locaux annexes et par la construction de dépendances situées dans le vaste parc du domaine. Ce n'est qu'en 1907 exactement que l'HOTEL BRITANNIQUE recevra sa forme définitive pour prendre l'apparence que nous lui connaissons encore aujourd'hui. Le pignon sud avait été prévu en fonction d'un agrandissement éventuel des installations. Ce projet, qui s'inscrivait dans le cadre d'un essor exceptionnellement favorable de l'établissement, fut contrarié par la première guerre mondiale et ne fut jamais réalisé parce que la famille LEYH orienta ses investissements dans d'autres directions. C'est ce qui explique le caractère nu et dépourvu de toute recherche stylistique de cet imposant pan de mur dont les propriétaires de la Maison eurent le bon goût de masquer la banalité par un habillage de lierre du plus bel effet.

La photo de gauche montre le pignon sud garni de lierre (années 1950…) tandis que la photo de droite montre le même pignon, bardé d'un escalier de secours (années 2000).

 

La première Guerre Mondiale

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La période 14/18 contribua de façon véritablement dramatique à organiser un grand rendez-vous du BRITANNIQUE (nous l'appellerons désormais ainsi dans notre propos) avec l'Histoire. A cet égard, le nom de l'Hôtel deviendra célèbre et il sera souvent cité dans les travaux rédigées par les plus brillants spécialistes qui étudièrent cette tranche de l'histoire du XXe siècle.

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"L'entrée des Allemands commença à Spa vers onze heures et demie du matin, le 4 août. La présence de l'avant-garde du corps d'armée qui traversa notre ville ce jour-là, fut annoncée par M. Léon Bosch qui…avait rencontré les premiers hussards de la mort un peu en amont du tir de Malchamps…Quelques minutes après, les hussards de la mort passaient place Pierre-le-Grand et descendaient l'avenue du Marteau, la lance en arrêt et faisant galoper leurs chevaux…"

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Cité d'après :Adm. Comm. De Spa, Spa pendant la Guerre 1914-1918, éd. F. VAN BUGGENHOUDT, BXL 1919

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"Le prince Frédéric-August, grand duc d'Oldenbourg, le lieutenant-général Hoffmann ainsi que l'état-major du 10e corps d'armée étaient descendus à l'hôtel Britannique. Leur présence à Spa était une sauvegarde et c'est certainement à cette circonstance que notre ville dut d'être épargnée".

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Cf. opere citato

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"Le 16 août, un des fils de Guillaume II, Wilhelm-Auguste de Hohenzollern, arrive à Spa et descend à l'hôtel Britannique, où se trouve toujours l'état-major".

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Cf. opere citato

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A partir d'octobre 1914, la ville de Spa devint un centre de " Kaiserl. Militär Genesungsheim " (Hôpital impérial des militaires convalescents ) et plus de 40 bâtiments publics et privés, dont l'hôtel Britannique, furent réquisitionnés par les forces d'occupation pour héberger les militaires convalescents. Il en résulta que plusieurs milliers de soldats allemands se " refaisaient une santé " à Spa avant d'être renvoyés sur le front (on dénombra jusqu'à 5000 hommes dans la petite cité thermale !).

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C'est à partir du mois de février 1918 que commencèrent les préparatifs de l'installation du Grand Quartier Général Impérial Allemand à Spa, et plus précisément dans les locaux du Britannique. A ce sujet, il est intéressant de lire ce que dit le Rapport de l'Administration Communale de Spa :

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" … Et durant un mois, ce fut un va-et-vient incessant, la nuit comme le jour, de ces lourds chariots automobiles transportant des charges de trois et quatre mille kilos, défonçant nos rues et nos avenues, brisant nos trappes d'égoûts et de canalisations d'eau, plaçant notre voierie dans un état tel qu'il faudra plusieurs centaines de millies de francs pour la remettre en état…Des précautions furent prises à l'égard de tous les habitants situés à gauche de l'avenue de la Sauvenière, depuis l'hôtel Britannique jusqu'à la fontaine de la Sauvenière…Le feldmaréchal von Hindenburg et le général Ludendorff sont arrivés pour la première fois à Spa le 8 mars 1918, à 8 heures du matin…L'Empereur est venu le 12 mars s'installer à La Fraineuse … "

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Cf. opere citato

 

Paul von HINDENBURG

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Guerrier mais pas vraiment téméraire, Paul von HINDENBURG fit aménager dans les sous-sols du BRITANNIQUE un abri de protection (prévu en cas d'attaque aérienne) à l'instar de celui qu'avait voulu son maître (le Kaiser GUILLAUME II) installé au château du Neubois. Le feldmaréchal allemand avait installé ses bureaux au premier étage du bâtiment dans une grande salle richement décorée faisant face à l'Est ; ce local, devenu aujourd'hui salle d'études pour l'internat, porte encore le nom de " Salle Hindenburg ". En face, dans une autre salle à front de la rue de la Sauvenière, se déroula une scène historique :

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En novembre 1918, se tint au BRITANNIQUE une réunion dramatique au cours de laquelle les conseillers de GUILLAUME II pressèrent ce dernier d'abdiquer. Cela se passait le 9 novembre 1918 au 1er étage, dans ce qui est actuellement la Grande Salle d'étude côté Sauvenière, sous les yeux ébahis d'un membre de la famille LEYH (monsieur Frank LEYH) qui observait les débats (sans rien entendre de ce qui se disait) depuis la fenêtre d'une maison située en face de l'hôtel. Le 11 novembre, ce fut l'Armistice puis, peu à peu, on organisa le départ des troupes d'occupation. Les propriétaires purent réintégrer l'hôtel et entreprendre de le remettre en état afin d'héberger les diverses personnalités internationales du plus haut niveau qui participeraient à la CONFERENCE DE LA PAIX dont les réunions se déroulèrent au château de la Fraineuse (aujourd'hui centre ADEPS) du 5 au 16 juillet 1920, au Boulevard Amédée Hesse à Spa. Le KAISER choisit de s'exiler aux Pays-Bas.

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D'après "Le Britannique, 3 siècles d'hôtellerie, 40 ans d'internat". Brochure " Quo vadis ? ", Spa 1998/1999.

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Une fois conclu l'armistice de novembre 1918, la famille LEYH doit s'attacher à rendre au Britannique son statut et son standing d'hôtel de luxe, notamment, en vue de préparer les réunions pour la Conférence de la paix qui se déroula au château de la Fraineuse à Spa. C'est au cours des années 1960 que cette demeure sera transformée en centre ADEPS de la Communauté française de Belgique, implanté dans un superbe et vaste domaine arboré, dont l'infrastructure sportive est régulièrement fréquentée par les élèves de l'internat.

 

La prospérité hôtelière de l'entre-deux-guerres

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La période de l'entre-deux-guerres (les années folles) apparut dans la plupart des pays d'Europe comme une sorte de "vengeance" à l'égard de tous les sacrifices endurés par les populations entre 1914 et 1918. La "vie à tout prix" reprit ses droits et dans cette optique, des hôtels de luxe tels que le BRITANNIQUE attirèrent une clientèle nantie qui appréciait le confort, la sérénité et les loisirs classiques. Le célèbre hôtel de la rue de la Sauvenière, dont on avait cité le nom dans le monde entier, répondit largement à la demande de cette clientèle. La prospérité, pour l'ensemble des grands établissements spadois qui s'étaient d'ailleurs multipliés, fut de retour jusqu'en 1940, l'année de tous les dangers …

 

La deuxième Guerre Mondiale

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Envahi, puis occupé une nouvelle fois pendant de longues années par le même "ennemi" qu'en 1914, le BRITANNIQUE, tout comme ses congénères, fut évidemment privé de l'exercice de sa fonction première et soumis aux désordres très dévalorisants que provoquent des troupes d'occupation venues comme agresseurs. Enfin, après bien des souffrances et des vexations vint "la libération" :

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Le 8 septembre,... leurs derniers blessés [des Allemands] avaient été évacués des hôpitaux installés dans les grands hôtels … A six heures du matin, le 10 septembre 1944, plusieurs fortes explosions firent trembler toute la ville : les Allemands faisaient sauter les ponts du chemin de fer et de la route, à Marteau... Il était environ onze heures lorsque la première colonne blindée américaine fit son entrée dans la ville, par un soleil resplendissant dans un ciel sans nuage...

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G.R. de LAME, Spa et les Américains, éd. Soledi , Liège 1948.

 

Le général Courtney H. HODGES

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A gauche , le général Courtney HODGES, chef de la 1ère armée américaine ayant débarqué en Normandie en juin 1944.

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A droite , le grand restaurant du BRITANNIQUE occupé par des G.I. (1944/1945).

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Ainsi donc, l'Histoire replantait le même décor pour assister au déroulement des évènements tragiques qui allaient secouer les Ardennes durant deux longs et terribles mois. En effet, l'état-major de la 1ère armée américaine, dont le commandement était confié au général HODGES, vint s'installer au n° 8 de la rue de la Sauvenière !

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  • Le Général HODGES logeait dans une villa réquisitionnée, portant le nom de "Le Bocqueteau" , située à Balmoral non loin des quartiers de son état-major.

  • Au BRITANNIQUE, il avait installé ses bureaux au 1er étage, là même où se trouvait celui de Paul von HINDENBURG 26 ans plus tôt lors de la 1ère guerre mondiale.

  • Le 16 décembre 1944 pendant la nuit se tint une réunion "au sommet" (toutes fenêtres occultées), dans "ce qui avait été une suite élégante", afin d'évaluer le bien-fondé des rumeurs faisant état d'une éventuelle offensive allemande à laquelle le Général HODGES (et d'autres avec lui) ne croyait guère.

  • Face à la surprenante réalité de l'attaque allemande, - également connue sous le nom de "offensive von RUNSTEDT" - pendant la journée du 18 décembre 1944, il déplaça le Q.G. de la 1ère armée à Chaudfontaine, au 1er étage du Palace Hôtel, son bureau étant à l'Hôtel des Bains. (Plus tard encore, il émigra à Tongres).

  • Le Britannique fut occupé par l'US ARMY depuis le 20 septembre 1944 jusqu'au mois d'août 1945 et son grand restaurant fut également réquisitionné par les services récréatifs de l'US Army pour la détente des soldats permissionnaires.

 

Les dernières belles années de l'Hôtel Britannique

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L'après-deuxième guerre mondiale vit s'ouvrir une ère nouvelle en matière de tourisme. Le développement fulgurant de l'industrie automobile et aéronautique, devint d'abord le privilège des classes sociales les plus aisées. Il permit à ces consommateurs de voyager de plus en plus loin, souvent au détriment du confort et de la découverte de nos richesses touristiques nationales, sacrifiant ainsi aux besoins du sensationnel et de l'exotisme. Cette évolution irréversible des mentalités éroda fortement la clientèle traditionnelle des grands hôtels qui, peu à peu, disparurent du paysage spadois. Les sages et saines distractions que proposait la "Perle des Ardennes" dans la seconde moitié du XXe siècle tombèrent progressivement en désuétude, entraînant dans leur chute ces établissements de luxe qui contribuèrent largement à la glorieuse renommée de cette charmante cité thermale. Par contre, des centres d'intérêt à caractère plus animé drainèrent à Spa une clientèle de passage se contentant de pratiquer du "tourisme d'un jour" ou se limitant à de courts séjours : spectacles et jeux au casino, grands prix de formule 1 et de vitesse pure pour motos, rallyes automobiles des "Boucles de Spa", réunions d'athlétisme (course des crètes), développement de l'aviation de tourisme à Malchamps, accueil du festival du Théâtre national, etc.

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Dans une large mesure, le BRITANNIQUE, lorsqu'il était encore un hôtel puis lorsqu'il fut devenu un internat, est resté associé à la plupart de ces manifestations festives :

 

Sa mission d'accueil n'a jamais été démentie !

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Photos de quelques uns des membres du personnel Salle et Cuisine qui animèrent l'HOTEL BRITANNIQUE dans les dernières années de son existence (années 1950 …). Comme on le voit, le luxe et l'élégance ont présidé, jusqu'à la fin et avec grand soin, à la mise en place des festins à venir …

 

Du pensionnat de l'athénée à l'internat autonome

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L'internat a été créé en 1958 par l'Etat Belge dans la propriété et les locaux de l'ancien Grand Hôtel Britannique à Spa dont il est devenu propriétaire. Ce luxueux bâtiment, auréolé de prestige et chargé d'histoire, offre une capacité de 160 lits répartis en jolies chambres de trois unités pour les plus jeunes des internes et de studios à un ou deux lits pour les étudiants du cycle supérieur.

 

Sont soumis à l'autorité d'un Administrateur ayant rang de chef d'établissement :

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  • l'ensemble des jeunes gens inscrits comme élèves internes.

  • une équipe composée d'Educateurs internes chargés des élèves.

  • une cellule comptable animée par une Educatrice-comptable.

  • une équipe de Personnel de Maîtrise affectée aux tâches logistiques.

 

Quelques dates importantes de nos quarante ans d'existence :

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  • 1957 : L'Etat belge devient acquéreur, par rachat, de l'ancien "Hôtel Britannique".

  • 1958 : En août, ouverture d'un PENSIONNAT pour garçons annexé à l' Athénée Royal de Spa; le nom officiel de l'Etablissement devient alors: "Pensionnat de l'Athénée Royal de Spa".

  • 1967/69 : Début de la destruction des anciennes dépendances de l'Hôtel puis construction du centre P.M.S de Spa rue Silvela, sur notre terrain.

  • 1969 : Le Pensionnat accueille les premiers élèves internes qui fréquentent l'Institut d'Hôtellerie nouvellement créé à Spa (dans une maison de la Place des Ecoles). Il héberge également, pendant la journée, plusieurs classes de l'école préparatoire de l'Etat, où il manque des locaux adéquats (en particulier pour les classes de 4e,5e et 6e primaires).

  • 1977 : drainage et premier aménagement du parc "en dur".

  • 1978/79 : Inauguration des terrains de sport construits en matériaux durables à l'occasion du 20e anniversaire de l'Etablissement (célébration en grande pompe avec présence d'un délégué du Ministre).

  • 1979 : Un statut d'autonomie est accordé à titre expérimental au Pensionnat par le ministre HUMBLET. L'Etablissement portera dorénavant le nouveau nom d'"Internat Global Autonome pour Jeunes Gens".

  • 1983 : Le Moniteur belge du 2 juin 1983 consacre le classement de plusieurs parties importantes du bâtiment dont les bureaux du rez-de-chaussée, le hall, l'escalier monumental, le grand restaurant, la façade etc.

  • 1987 : L'internat devient officiellement autonome sous l'appellation définitive de "Internat Autonome pour Jeunes Gens". Peu à peu, on lui préfère cependant le nom de "LE BRITANNIQUE" qui sera d'ailleurs agréé par le Ministère de l'Education de la Communauté Française de Belgique en 1998.

  • 1990/91 : La première batterie d'ordinateurs fait sa timide apparition à l'internat. L'abattage de quelques arbres magnifiques (héritage du passé de l'hôtel) de notre parc a été décrété " de sécurité publique " par les experts en jardinage de ce qui s'appelait encore le Fonds des Bâtiments Scolaires.

  • 1993 (et suiv) : L'informatique commence à entrer en force au BRITANNIQUE et ne cessera de se développer (au profit des internes).

  • 1998/99 : L'année scolaire coïncidant avec son quarantième anniversaire, et pour la première fois de son histoire, l'Internat héberge 174 internes régulièrement inscrits à la date du recensement officiel au 1eroctobre 1999. En 1999, une entreprise est chargée de la rénovation des vastes toitures de l'internat; ces travaux durent plusieurs mois et sont effectués avec le plus grand soin car ces toitures sont classées.

 

 

A Spa, quelle que soit la saison,
Ah ! qu'elle est belle, notre maison !

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